Cette année, ce n'est pas le cas, encore que mon vieux complice, mon ami Eddy Renaud, me donne un de ses derniers morceaux, Le sens de la vie, que j'aime énormément pour sa mélancolie chaloupée. Il reste à choisir parmi les cinq ou six versions qu'il m'a proposées.
Je n'en ferai écouter aucune ici, ni d'ailleurs aucun des morceaux choisis pour la pièce, car je tiens là à la surprise. J'ai mis le texte en ligne, je ne vois aucun inconvénient à le faire connaître avant (il me semble même que l'on va voir d'autant plus facilement une pièce de théâtre si l'on en connaît bien l'intrigue et les répliques, curieux que l'on est de la mise en scène qui en sera faite), mais la musique justement fait partie de la mise en scène, c'est-à-dire de ce qui doit rester du domaine de l'inouï, du nouveau, de l'inexploré.
Cependant, j'invite fortement ceux que la musique d'Eddy intéresse à aller l'écouter sur un de ses nombreux Myspace.
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