"Puisque dans le voyage spatio-temporel des « Misérables 62 » tu as repris le côté temporel, je te livre une suite de paroles des chansons de l’année 1962.
Je propose un jeu : retrouver les interprètes (souvent aussi auteurs).
Je suis certain que beaucoup retrouveront aussi les musiques qui vont si bien.
Un souvenir pour finir : c’est je pense en 1962 (63 ?)que j’ai vu Claude François sur la scène champêtre de « l’assemblée » de Luçay-le-Mâle : Cloclo en personne… en tournée à Luçay-le Mâle ! Pourrait-on revoir l’équivalent aujourd’hui ?"
Je mets bien volontiers ce jeu en ligne y adjoignant seulement quelques liens vidéo sur les pistes proposées in fine.
Les gens m'appellent l'idole des jeunes
Il en est même qui m'envient
Mais ils ne savent pas dans la vie
Que parfois je m'ennuie
Il en est même qui m'envient
Mais ils ne savent pas dans la vie
Que parfois je m'ennuie
Dans la nuit je file tout seul de ville en ville
Je ne suis qu'une pierre qui roule toujours
J'ai bien la fortune et plus et mon nom partout dans la rue
Pourtant je cherche tout simplement l'Amour
Je ne suis qu'une pierre qui roule toujours
J'ai bien la fortune et plus et mon nom partout dans la rue
Pourtant je cherche tout simplement l'Amour
Trompettes
De la Renommée,
Vous êtes
Bien mal embouchées !
De la Renommée,
Vous êtes
Bien mal embouchées !
Sonneraient-ell's plus fort, ces divines trompettes,
Si, comm' tout un chacun, j'étais un peu tapette,
Si je me déhanchais comme une demoiselle
Et prenais tout à coup des allur's de gazelle ?
Mais je ne sache pas qu'ça profite à ces drôles
De jouer le jeu d' l'amour en inversant les rôles,
Qu'ça confère à ma gloire un' onc' de plus-valu',
Le crim' pédérastique, aujourd'hui, ne pai' plus.
Si, comm' tout un chacun, j'étais un peu tapette,
Si je me déhanchais comme une demoiselle
Et prenais tout à coup des allur's de gazelle ?
Mais je ne sache pas qu'ça profite à ces drôles
De jouer le jeu d' l'amour en inversant les rôles,
Qu'ça confère à ma gloire un' onc' de plus-valu',
Le crim' pédérastique, aujourd'hui, ne pai' plus.
Accordez, accordez, accordez donc,
L’aumône à l’accordé, l’accordéon.
Au musicien des ruelles son ami
Son compagnon c’est l’accordéon…
C’est la fête aux copains
C’est la fête à Pantin
C’est la fête à Paname,
C’est la fête aux Lilas
La fête ici ou là
C’est la fête à mon âme…
Un' petit' fille en pleurs
Dans une ville en pluie
Et moi qui cours après
Et moi qui cours après au milieu de la nuit
Mais qu'est-c'que j'lui ai fait ?
Une petite idiot' qui me joue la grande scène
De la femm' délaissée
Et qui veut me fair' croir' qu'elle va se noyer !
C'est d'quel côté la Seine ?
Dans une ville en pluie
Et moi qui cours après
Et moi qui cours après au milieu de la nuit
Mais qu'est-c'que j'lui ai fait ?
Une petite idiot' qui me joue la grande scène
De la femm' délaissée
Et qui veut me fair' croir' qu'elle va se noyer !
C'est d'quel côté la Seine ?
Mets ton habit scaphandrier,
Et dans le cerveau de ma blonde,
Tu vas descendre, que vois-tu?
Il est descendu, descendu...
Et dans les profondeurs du vide
Le scaphandrier s'est perdu...
Et dans le cerveau de ma blonde,
Tu vas descendre, que vois-tu?
Il est descendu, descendu...
Et dans les profondeurs du vide
Le scaphandrier s'est perdu...
Elles sont toutes Belles, belles, belles
Comme le jour…
Belles, belles, belles comme l’amour…
Tous les garçons et les filles de mon âge
Se promènent dans la rue deux par deux
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent bien ce que c'est d'être heureux
Se promènent dans la rue deux par deux
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent bien ce que c'est d'être heureux
Mes jours comme mes nuits
Sont en tous points pareils
Sans joies et pleins d'ennuis
Oh ! Quand donc pour moi brillera le soleil ?
Sont en tous points pareils
Sans joies et pleins d'ennuis
Oh ! Quand donc pour moi brillera le soleil ?
Un premier amour, premier amour, premier amour
Ne s'oublie jamais, s'oublie jamais, s'oublie jamais
Un premier amour on le cherche toujours
Dans d'autres amours toute sa vie on court après
Ne s'oublie jamais, s'oublie jamais, s'oublie jamais
Un premier amour on le cherche toujours
Dans d'autres amours toute sa vie on court après
Mémère, tu t’en souviens, de notre belle époque,
C’était la première fois qu’on aimait pour de bon.
A présent, faut bien l’dire, on a l’air de vieux schnocks,
Mais c’qui fait passer tout, c’est qu’on a la façon.
C’était la première fois qu’on aimait pour de bon.
A présent, faut bien l’dire, on a l’air de vieux schnocks,
Mais c’qui fait passer tout, c’est qu’on a la façon.
Mon Dieu, c’est pourtant vrai que je t’app’lais chérie
Il n’faut pas m’en vouloir, mais je n’m’en souv’nais plus.
On parle des souv’nirs, mais c’est fou c’qu’on oublie.
J’te d’mande pardon, chérie, et qu’on n’en parle plus.
Il n’faut pas m’en vouloir, mais je n’m’en souv’nais plus.
On parle des souv’nirs, mais c’est fou c’qu’on oublie.
J’te d’mande pardon, chérie, et qu’on n’en parle plus.
Il n'y a plus d'après
A Saint-Germain-des-Prés
Plus d'après-demain
Plus d'après-midi
Il n'y a qu'aujourd'hui
Quand je te reverrai
A Saint-Germain-des-Prés
Ce n'sera plus toi
Ce n'sera plus moi
Il n'y a plus d'autrefois
Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien...
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal tout ça m'est bien égal!
Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien...
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé!
Tout ça n'vaut pas un clair de lune à Maubeuge
Tout ça n'vaut pas le doux soleil de Tourcoing
Tout ça n'vaut pas une croisière sur la Meuse…
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague,
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues,
Et de vagues rochers que les marées dépassent,
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse.
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent d'ouest écoutez le tenir
Le plat pays qui est le mien
J'ai quitté mon pays
J'ai quitté ma maison
Ma vie ma triste vie
Se traîne sans raison
J'ai quitté mon soleil
J'ai quitté ma mer bleue
Leurs souvenirs se réveillent
Bien après mon adieu
Soleil! Soleil de mon pays perdu
Des villes blanches que j'aimais
Des filles que j'ai jadis connues
Et j’entends siffler le train
Et j’entends siffler le train
Que c’est triste un train qui siffle dans le soir…
et
Un mexicain basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise…en guise…en guise
En guise de raton-laveur….
Marcel Amont, Richard Anthony, Isabelle Aubret, Guy Béart, Georges Brassens, Jacques Brel, Jean Ferrat, Léo Ferré, Claude François, Serge Gainsbourg, Johnny Halliday, Françoise Hardy, Claude Nougaro, Pierre Perrin, Edith Piaf, Michel Simon, Enrico Macias,
En 1962, l’expression « Variétés » pour parler de la chanson avait un sens. F.D.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire